Retrouvez ci dessous les coquillages proposés dans votre poissonnerie:
- Les huitres grands crus
- Les oursins de Galice
- Les palourdes
- Les amandes
- Les praires
- Les bulots
- Les murex
- Les moules
- Les violets
- Les tellines
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Dans votre poissonnerie au féminin à Mazamet, nous vous proposons les délicieux oursins de Galice au meilleur prix !
Cet oursin se pêche essentiellement dans la région de Galice en Espagne, comparé à ses homologues méditerranéens, il se différencie par sa taille plus imposante, son goût légèrement sucré et son aspect beaucoup plus charnu.
Pour l'ouverture des oursins, il faut :
- Prendre l'oursin et taillez la partie ronde et sans épines au milieu.
- Découpez en faisant le tour de l'oursin avec des ciseaux.
- Avec votre doigt, vérifiez qu'il n'y a plus d'épines à l'intérieur.
La consommation des oursins est variée :
- Cru : à l'aide d'une petite cuillière, récupérez le corail à l'intérieur de l'oursin. Ajoutez y quelques goutes de citron et dégustez le avec une tranche de pain beurrée.
- En sauce : l'oursinade. Une sauce épaisse qui accompagne très bien les poissons de nage.
L'amande est un coquillage de la famille des palourdes, qui se consomme cru ou cuit. On les trouve de septembre à avril . Le milieu d'eau de mer dans lequel vivent ces petites palourdes assurent la fermeté de leur chaire. Et sa saveur plaît au palais des gourmets.
COMMENT MANGEZ L'AMANDE DE MER ?
Fine et savoureuse, elle est le plus souvent dégustée crue sur les plateaux de fruits de mer. Elle peut être aussi cuisinée cuite comme les moules marinières. Également, mangée en salade ou accompagner une assiette de pâtes.
Avec un goût très prononcé en iode, riche en oligoéléments, en vitamines et en minéraux, elle a tous les atouts pour plaire. Peu coûteuse, peu calorique, elle est moins consommée que d’autres coquillages à cause de sa texture originellement caoutchouteuse. Pourtant, bien préparée et bien cuisinée, elle se révèle être pleine de surprises et de richesses au palais.
Les palourdes et leur goût délicatement iodé sont un vrai délice. Elles se dégustent parfaitement crues dans un plateau de fruit de mer ou cuites accompagnées de pâtes par exemple.
Comment préparer la palourde ?
Les palourdes doivent être soigneusement rincées avant d'être cuisinées, afin d'éliminer tout grain de sable ou trace de vase. Le mieux est de les brosser une première fois sous l'eau froide, puis de les laisser tremper dans un bain d'eau salée pendant 30 minutes à 2 heures avant de les égoutter et de les rincer une dernière fois.
Comment cuisiner et déguster la palourde ?
Les palourdes sont idéales, dégustées crues sitôt pêchées ou achetées ! On les dégustera telles qu'elles ou avec un filet de jus de citron. Pour les ouvrir, utilisez simplement un petit couteau d'office. Lorsqu'elles sont de taille moyenne, les palourdes pourront être farcies, par exemple avec une petite persillade. Leur forme bombée se prête bien à ce type de recettes. Les possibilités de cuisson sont multiples et ne demandent que quelques minutes : à la vapeur, au grill ou simplement cuites "marinière", avec un peu de vin blanc ou une sauce crème. Une fois cuites, elles s'intègrent aussi avec délice dans une salade, un taboulé ou des légumes sautés au wok. Les Italiens les marient aux pâtes, dans la célébrissime recette des spaghettis (ou linguine !) à la vongole.
La praire est un coquillage de couleur beige, un peu ocre, de la même famille que les coques, les palourdes ou encore les amandes. Contrairement à ces dernières qui les remplacent parfois sur les plateaux de fruits de mer (car moins chères), les praires sont délicieuses crues. Leur chair est bien plus fondante. C’est un bivalve qui vit enfoui dans le sable. Il provient souvent de Normandie (Granville)
Comment dégorger les praires :
Remplissez une grande bassine d’eau salée froide (35 g de sel par lite d’eau) et laissez-les dégorger quelques heures. Vous pouvez changer l’eau une fois si vous le voulez. Elles vont ainsi régurgiter le sable qu’elles contiennent. Enlevez toutes celles qui ont la coquilles cassés, qui baillent ou qui flottent.
Comment manger les praires
Vous pouvez les consommer :
Le murex est un gastéropode méditerranéen qui appartient à la famille des escargots de mer.
La texture de sa chaire est ferme et présente une pointe d'amertume. La saveur de cette créature rappelle celle du bulot, ce qui en fait un aliment idéal pour les amateurs de fruits de mer.
Variétés de moules
On dénombre principalement 4 variétés de moules :
Les moules s'achètent toujours vivantes, coquilles fermées ou se refermant quand on les touche. Elles sont vendues au litre (environ 750 grammes) ou au kilo.
Il est préférable de les consommer le jour même de l'achat.
Conserver les moules dans un linge humide dans le bas du réfrigérateur et lavez les juste avant de les cuisiner à l'eau courante bien froide sans les laisser tremper et brosser si nécessaire. Répéter l'opération plusieurs fois et éliminez celles qui restent béantes.
La cuisson des moules est toujours très courte, 2 minutes à feu vif et elles sont déjà ouvertes. La préparation des moules à la marinière ou façon poulette comme pour les coques permet de les cuire en gardant tout leur goût iodé. Vous pouvez aussi ajouter à la crème des épices de votre choix comme le curry. Prenez soin de filtrer au chinois étamine le jus de cuisson des moules que vous pourrez transformer en un délicieux velouté ou comme base de potage.
Aussi appelé biju ou figue de mer. Il vit sur des fonds rocheux.
Le violet à un goût iodé bien caractéristique, qui fait de lui un coquillages apprécié en méditerranée. On le reconnait à sa taille et à sa couleur jaune orangé particulièrement vive. Le violet est connu pour sa couleur vive et exceptionnelle. Il se fixe à des roches, des pierres ou des coquilles.
Appelé « figue de mer » ou encore « patate de mer », en raison de sa forme et de sa couleur sombre violacée, le violet, dont le violet de roche (le plus recherché), est un crustacé assez étrange, très apprécié de Marseille à Toulon. Souvent présenté sur un plateau de fruits de mer, il laisse apparaître, ouvert en deux, une chair orangée et ferme à l’odeur puissamment iodée.
Le violet méditerranéen est un ascidie stolidobranche comestible (tous ne l’étant pas). La partie comestible orangée est contenue dans une enveloppe extérieure (appelé « tunique ») très résistante, rugueuse, mais non rigide comme le serait une coquille. Il vit dans les eaux peu profondes bordant la côte de la Méditerranée, fixé aux roches, filtrant l’eau de mer pour se nourrir. Sa forme de grosse pomme de terre ridée, de couleur brun noir violacé, est recouverte d’épibiotes (organismes fixés), d’où son nom scientifique de Microcosmus (« petit monde »). Ce sont des plongeurs qui le capturent, sectionnant les rhizoïdes qui lui permettent de s’accrocher à la roche. Il existe aussi un violet de sable, moins estimé.
Dans l’assiette
Vendu chez les poissonniers marseillais et toulonnais, le violet se consomme cru, avec du jus de citron ou du vinaigre à l’échalote. Il peut aussi se cuire au court-bouillon.
L’exploitation intensive du violet l’a rendu rare et de taille modeste (autrefois, certains spécimens mesuraient une vingtaine de centimètres) sur le littoral marseillais et varois. Désormais, les tables gastronomiques doivent s’approvisionner dans la région de Sète.
Dans une belle coquille nacrée de 3 cm de diamètre en moyenne, la telline, cousine de la palourde, vit enfouie dans le sable. Sa chair est de petite taille mais très savoureuse.
Comme tout coquillage, la telline doit être fermée sur l’étal. Si elle est fraîche, elle est humide et brillante. Elle est souvent vendue débarrassée de tout grain de sable, ce qui n’empêche pas de les faire dégorger pour s'en assurer.
Faites dégorger les tellines dans de l’eau de mer une nuit dans une passoire ; si vous utilisez de l’eau du robinet, les tellines durcissent. Ne les trompez pas en ajoutant une poignée de gros sel ! On ne leur fait pas !